La Barre D'outil Révolution !
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A tous ! Pourriez vous partager les articles et les aimer sur facebook.Aider au combat contre l'islamisation de la france et contre Hollandouille et son gouvernement de merde !
Friday, 6 December 2013
La fraude social de la branche maladie est massive !
[...] les passeurs peuvent avoir plusieurs noms : certains sont même des associations Loi 1901 qui profitent des réseaux pour ramener des patients se faire opérer en France et une fois que les patients sont ici, ils restent ici [...]
Quand un jeune arrive et qu'il est en insuffisance rénale, il passe immédiatement en dialyse. Il va être dialysé chez nous (70 000 € par an) puis il va passer en greffe rénale prioritaire parce qu'il est mineur et qu'il est étranger. Mais il ne repartira pas chez lui car les traitements immunosuppresseurs (comme la Cyclosporine) n'existent pas dans son pays. Il va donc rester sous statut CMU et comme il ne pourra pas jamais travailler parce qu'il a été dialysé-greffé et qu'il ne parle pas la langue, il sera par la suite déclaré 'adulte-handicapé' [...] Pas de problème pour soigner un patient étranger mais son pays nous rembourse et nous prend en charge [...]
Sachant que dans le pays il y a 500 000 AME, vous arrivez à près de 1 milliard 7 de déficit juste avec la générosité des français pour soigner des étrangers en situation irrégulière »
Didier LEGEAIS, chirurgien urologue à Grenoble,
Vice-président de l'Union des Chirurgiens de France
(extrait de 'Carrément Brunet' du 7 oct 2013)
Chômage : des statistiques qui infirment que l'inversion de la courbe est entamée ! UN mensonge de plus !
ANALYSE - La hausse du taux de chômage au 3e trimestre heurte de plein fouet la promesse présidentielle d'inverser la courbe du chômage d'ici à la fin de l'année. Et ce même si l'exécutif va tenter de démontrer le contraire.
«L'inversion de la courbe du chômage est entamée», a affirmé sans ambages jeudi dernier François Hollande, fier de montrer qu'il tient sa promesse avec la baisse affichée de 20.500 chômeurs. Et notamment pour les jeunes, dont le nombre d'inscrits à Pôle emploi en catégorie A recule depuis maintenant six mois. Et patatras: l'Insee publie ce matin un taux de chômage en hausse de 0,1 point -à 10,5 % en France métropolitaine et 10,9 % France entière- au troisième trimestre. On nous aurait menti?
Non, ne va pas manquer de rétorquer le président de la République dont la crédibilité de la politique tient pour beaucoup au respect de son engagement d'inverser la courbe du chômage en fin d'année. Et il va user de trois arguments imparables selon lui, de trois éléments de langage même pourrait-on dire, pour le démontrer. Primo, les périodes visées ne sont pas les mêmes. La baisse du nombre de chômeurs à Pôle emploi porte sur le mois d'octobre et le taux de chômage publié ce matin par l'Insee fait un focus sur le 3e trimestre, soit les mois de juillet à septembre. Secundo, les données ne sont pas les mêmes. Dans le premier cas il s'agit de données administratives -Pôle emploi fait la photo du nombre d'inscrits à la fin de chaque mois dans ses 5 catégories- et dans le second c'est le résultat d'une enquête réalisée tous les trois mois auprès des Français ; et on sait que les statistiques du chômage au sens de Pôle emploi et au sens du BIT peuvent diverger (on peut être chômeur pour l'un mais pas pour l'autre - surtout l'Insee ne recense que les chômeurs qui n'ont pas travaillé une seule minute au cours de la période). Tertio, l'Insee a corrigé de 0,1 point à la baisse le taux du 2e trimestre, ce qui sur six mois fait donc une stabilité du chômage.
Les seniors, parent pauvre de la politique de l'emploi
Donc, si l'on croit ce que ne vont pas manquer de dire le chef de l'exécutif et ses ministres, il n'y a pas de contradiction entre ces deux données: un nombre de chômeurs en baisse pour Pôle emploi et un taux de chômage en hausse pour l'Insee. Si seulement c'était aussi simple… Rappelez-vous que François Hollande a appelé jeudi les Français à interpréter les données du chômage sur la base de ses «tendances». Or selon l'Insee, la tendance n'est pas bonne. Et même pas du tout. Non seulement le taux de chômage augmente de 0,1 point sur 3 mois, mais il bondit de 0,6 sur un an. On fait mieux comme tendance… Pis, si le nombre de chômeurs reste stable au sens du BIT (à 2,995 millions - je vous avais expliqué que les définitions ne sont pas les mêmes), c'est que la légère baisse de 0,2 point enregistrée chez les 15-24 ans -on y revient juste après- est compensée par la hausse intervenue chez les plus de 50 ans, véritable parent pauvre de la politique de l'emploi du gouvernement.
Les jeunes, justement, parlons-en. Leur nombre au chômage diminue, selon le BIT, de 0,2 point au 3e trimestre, à 9 % par rapport à l'ensemble de la classe d'âge. Une bonne nouvelle donc qui confirme les données de Pôle emploi. En première analyse, oui. Mais quand on y regarde de près, on se rend compte que cette baisse du nombre de jeunes chômeurs ne se traduit pas par une hausse des jeunes… en emploi. Au contraire, ce dernier indicateur recule même au 3e trimestre. Et pas qu'un peu: de 0,4 point, pour atteindre un plus bas historique à 27,8 %. Là encore, on fait mieux comme preuve d'une inversion de la courbe, une réalité nous dit-on depuis six mois pour les jeunes!
Le traitement social marche à plein
La raison? Simple. Si le nombre de jeunes au chômage diminue, c'est uniquement parce que le traitement social du chômage (emplois d'avenir, contrats aidés classiques, mise en formation… - les emplois d'avenir ne sont pas considérés au sens de la comptabilité nationale comme des emplois car ils ne sont pas, pour leur très grande majorité, créés dans le secteur marchand) tourne à plein et que de plus en plus d'entre eux ne prennent même plus la peine de s'inscrire à Pôle emploi, voire même recherchent un emploi en CDI à temps plein tout en ayant une activité (CDD, intérim…) à temps partiel.
Ce dernier point est d'ailleurs confirmé par les données de Pôle emploi qui enregistre depuis plusieurs mois une forte progression du nombre de jeunes inscrits dans les catégories B et C (demandeurs d'emploi qui exercent une activité de plus ou moins 78 heures dans le mois). Rien qu'en octobre, le mois de l'inversion rappelez-vous, ce nombre a explosé de 6,6 %. Mais chut, il ne faut pas le dire trop fort, le gouvernement ne s'en est pas rendu compte. À moins qu'il ne souhaite simplement pas que cela se sache…
Le site Internet bloquer dans les colleges, et university. Censure de gauche . dictature socialiste !
veuiller fair tourner cette video et essayer ou demander a vos gosse de verifier par vous meme..
Friday, 29 November 2013
Justice, démission !!!
Justice, démission !!!
« le braqueur, 36 ans, était un récidiviste. Il avait été condamné à dix reprises, dont une fois à dix ans de réclusion par la cour d’assises de la Marne pour vol avec arme et séquestration« , a déclaré à l’AFP le procureur, Christian de Rocquigny.
Comment se fait-il qu’un malfaiteur :
- confirmé : déjà condamné 10 fois,
- dangereux : vol avec arme et séquestration,
ait pu se trouver en liberté après un tel parcours judiciaire ?
Comment la justice a t-elle pu emprisonner le jeune Nicolas de la Manif pour tous, pendant 23 jours, pour un simple refus de donner son identité, et laisser en liberté ce multirécidiviste abattu par ce bijoutier ?
Quelle est la responsabilité de madame Taubira qui a supprimé les peines-planchers pour les multirécidivistes et envoyé, à destination des délinquants, le formidable message d’impunité que l’on connait ?
Dans une réunion récente du parti socialiste destinée à glorifier la Garde des Sceaux, dont la gauche a fait son étendard, Manuel Valls a déclaré qu’avec Christiane Taubira, il formait un « beau couple » !
Les policiers partagent-ils vraiment l’opinion de leur chef ?
Pire encore, cette femme, qui symbolise tout le sectarisme de la gauche française, vient de prendre une décision qui va priver les policiers d’un atout décisif dans la lutte contre la criminalité : la géolocalisation des suspects par la téléphonie mobile ou de leurs voitures par GPS (voir mon précédent article : Taubira, l’infâme de l’année a encore frappé).
La justice, par sa culture de l’excuse généralisée, ne pousse t-elle pas les Français à pallier son inefficacité en prenant eux-mêmes les mesures pour se protéger ?
Mais, soyez en sûr, aucune enquête ne sera diligentée pour savoir pourquoi ce dangereux malfaiteur était en liberté ! A fortiori, aucun juge ne sera sanctionné !
Et les bijoutiers continueront à s’armer et
seront poussés à faire justice eux-mêmes !
seront poussés à faire justice eux-mêmes !
Pendant ce temps-là, Christiane Taubira, place Vendôme, savoure son titre de « femme de l’année » en préparant le vote au parlement de sa réforme pénale qui va vider les prisons !
Quant la Police nous donne envie de vomir ! gallery lafayette Paris contre SDF
Voici une video qui demontre par elle seul se quest devenue la france.
ces policiers qui sont la pour normalement faire regner l'ordre de degoute.
rien que des merde finit !
nous avons , nous Francais besoin dune revolution!
partager sil vous plait sur vos mur pour montrer la republic socialiste !
Merci
ces policiers qui sont la pour normalement faire regner l'ordre de degoute.
rien que des merde finit !
nous avons , nous Francais besoin dune revolution!
partager sil vous plait sur vos mur pour montrer la republic socialiste !
Merci
Thursday, 28 November 2013
Marine Le Pen sur les terres des bonnets rouges
cets helas trop vrais..
vive marine...partager sur vos mure.
Affaire Varin : agir maintenant
Les
atermoiements du gouvernement après l'affaire Varin ne sont pas acceptables. Ils
témoignent de l'incapacité du pouvoir socialiste, dans la lignée du précédent
pouvoir UMP, à imposer des règles aux puissances d'argent.
Marine
Le Pen demande le dépôt sans tarder d'un projet de loi d'interdiction des
retraites chapeau, des parachutes dorés et de plus forte taxation des stock
options. Il n'y a plus à tergiverser ou à attendre.
Cette
proposition, qui figurait dans son projet présidentiel, est la seule réponse
crédible aux rémunérations extravagantes de très grands patrons, quand le
gouvernement fait semblant de croire à une auto régulation qui ne peut pas
fonctionner. Elle est d'autant plus justifiée dans des cas comme celui-ci où
l'entreprise a récemment perçu des fonds publics.
En
plus du dépôt de ce projet de loi, Marine Le Pen demande aux pouvoirs publics de
s'assurer que Monsieur Varin ne percevra pas par un biais détourné, en France ou
à l'étranger, ces 21 millions d'euros auxquels il dit avoir définitivement
renoncé.
"Meeting contre les extrémismes" : le PS victime d'un terrible effet boomerang le jour de l'affaire PSA
Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-Président du Front National
L’actualité est souvent cruelle pour ceux qui veulent jouer avec elle…On imagine en effet comment doivent se sentir ridicules ce soir les apparatchiks socialistes et les ministres, tout occupés à un « grand meeting contre les extrémismes » au moment-même où la France est révoltée par un nouveau scandale, celui de la retraite chapeau indécente du président de PSA…
Le symbole est fort : pendant que les Français prennent une nouvelle fois conscience de la soumission totale du gouvernement aux puissances d’argent, ce dernier agite une énième fois une peur aussi fantasmée qu’artificielle, celle d’un supposé « extrémisme » qui menacerait la France. Peur que les Français savent totalement inventée pour des raisons électoralistes et pour esquiver le débat de fond.
Le décalage entre la réalité de ce que vivent les Français et la mise en scène gouvernementale est ce soir terrible pour le pouvoir.
Le gouvernement ferait mieux de sortir du ridicule et de travailler à lutter contre les véritables extrémismes au lieu de tenter de criminaliser le patriotisme et de stigmatiser des millions d’électeurs du Front National : l’extrémisme la finance que révèle une nouvelle fois l’affaire Varin, celui de l’obscurantisme et du communautarisme qui soumettent nombre de nos quartiers à des lois autres que celle de la République.
En France de 2013, l’État est l’ennemi du peuple
Voulant reprendre la main sur le capitaine du pédalo Titanic, Jean-Marc Ayrault a ouvert la boîte de pandore de la « remise à plat fiscale ».
Alors que Boulevard Voltairecontinue d’interroger quelques personnalités sur l’imminence – ou non – d’une révolution, il est intéressant de rappeler qu’une telle tabula rasa a bien eu lieu déjà – une et une seule fois – dans l’histoire de France… ce fut lors de la Révolution !
Une étude de l’Institut Coppet rappelle qu’à la fin de l’Ancien Régime, au XVIIIe siècle, les Français travaillaient 18 jours par an pour financer les dépenses de l’État, alors qu’aujourd’hui, vous turbinez du 1er janvier au 26 juillet pour l’État (!) pour que, in fine, il fasse ce-que-vous-savez de votre argent…
L’avènement de la démocratie a donc permis de multiplier par onze la pression fiscale sur ceux qui passèrent du statut de sujets à celui de citoyens. C’est fou ce qu’un changement de dénomination permet de faire avaler comme couleuvres…
L’historien Nicolas Delalande (auteur de l’excellent ouvrage Les Batailles de l’impôt) rappelait récemment qu’autour de 1900, le taux d’imposition représentait environ 10 % de la richesse nationale… et qu’aujourd’hui, « le niveau des prélèvements se maintient entre 42 % et 46 % du PIB ».
L’amusant Bernard-Henri Lévy (amusant parce qu’on sait toujours ce qu’il va dire avant qu’il n’ouvre la bouche, ce qui est quand même l’exact inverse d’une preuve de réflexion qu’on pourrait espérer d’un « intellectuel »…) vient de se fendre d’un édito appelant à « prier pour l’impôt ».
Lisez plutôt :
Prions pour l’impôt, [...] sans lui, plus moyen ni de protéger les plus faibles, ni de secourir les plus démunis, ni, surtout, de confier à la lettre d’une loi le principe de cette responsabilité pour autrui.
Et c’est ainsi qu’on en revient encore et toujours au même principe de cet État qui veut se substituer à MA charité, alors que chacun sait que sans le tissu associatif et bénévole – en grande majorité d’origine catholique, pardon my French – il n’y aurait nulle solidarité, nul soutien des VÉRITABLES plus faibles, nulle entraide.
Le consentement à l’impôt vient d’un pacte simple entre le peuple et son monarque. Nous payons pour trois « prestations » fondamentales, régaliennes :
- l’État protège l’intégrité du territoire (frontières, invasions) ;
- l’État bat monnaie (garantissant l’indépendance de la nation) ;
- l’État rend la justice (sans influence des puissances d’argent, privilégiant le petit et le faible, tel que théorisé – et appliqué – par Saint Louis).
- l’État bat monnaie (garantissant l’indépendance de la nation) ;
- l’État rend la justice (sans influence des puissances d’argent, privilégiant le petit et le faible, tel que théorisé – et appliqué – par Saint Louis).
Or, aujourd’hui, alors que nous payons plus d’impôt que jamais dans l’histoire de notre peuple, l’État a ouvert les frontières, l’État ne bat plus monnaie, et l’État rend une justice politique servant des lobbies et/ou des idéologies contre le peuple.
Nous sommes dans une situation simple, qu’il faut décrire par des mots simples, parce qu’elle a des précédents dans l’histoire du monde et qu’il serait criminel de se contenter d’une danse du ventre syntaxique pour cacher la vérité : en France de 2013, l’État est l’ennemi du peuple.
Il est temps d’appliquer la Marseillaise.
Une Justice Normal!
A savoir que je suis persuader que maintenant elle est en train de saisir la cour europeene pour racisme et droit de lhomme bafoué !
Fait rarissime, la cour d'appel de Paris a pris le contre-pied de la Cour de cassation. La justice a confirmé mercredi le licenciement d'une salariée de la crèche privée Baby Loup, à Chanteloup-les-Vignes dans les Yvelines. La cour d'appel de Paris estime que Fatima Atlif a commis une «faute grave» en se présentant voilée à son travail. La directrice de la crèche, Natalia Baleato, salue un «jour historique». Elle se félicite que la possibilité d'offrir aux enfants un «accueil en toute neutralité» ait été reconnue. Me Richard Malka, l'un des avocats de l'établissement, parle quant à lui d'«une décision de résistance» qui «marquera l'histoire de la laïcité». Il y voit «l'affirmation que si la religion est sacrée pour certains, elle n'est pas sacralisée par la République».
L'affaire remonte à décembre 2008. De retour d'un congé maternité entamé cinq ans plus tôt, Fatima Atlif refuse d'enlever son voile sur son lieu de travail. La directrice de l'établissement décide alors d'entamer une procédure de licenciement. Elle invoque le règlement intérieur de la crèche, qui oblige à la «neutralité philosophique, politique et confessionnelle». Fatima Atlif saisit le conseil des prud'hommes de Mantes-la-Jolie. En novembre 2010, l'employeur obtient gain de cause. Un an plus tard, la cour d'appel de Versailles confirme le jugement. L'affaire connaît un rebondissement en mars dernier: la Cour de cassation annule la décision dans un arrêt vivement critiqué. La crèche étant un établissement privé, le licenciement constitue «une discrimination en raison des convictions religieuses».
Une «entreprise de conviction»
Retour devant la cour d'appel pour un nouveau jugement sur le fond. À l'audience, le 17 octobre, le procureur général François Falletti demande la confirmation du licenciement. Mercredi, les juges ont finalement estimé que Baby Loup «peut être qualifiée d'entreprise de conviction en mesure d'exiger la neutralité de ses employés». Les restrictions prévues par le règlement intérieur de la crèche «ne portent pas atteinte aux libertés fondamentales, dont la liberté religieuse, et ne présentent pas de caractère discriminatoire», précise l'arrêt. Elles «répondent aussi dans le cas particulier à l'exigence professionnelle essentielle et déterminante de respecter et protéger la conscience en éveil des enfants, même si cette dernière ne résulte pas de la loi».
Seulement, le jugement pourrait ne pas clore cette bataille judiciaire engagée il y a cinq ans. Plusieurs voies de recours subsistent pour la salariée licenciée. Fatima Atlif va très probablement formuler un nouveau pourvoi en cassation, a d'ores et déjà annoncé son avocat. Une chose est sûre: la crèche va quitter Chanteloup-les-Vignes le 31 décembre. L'établissement privé, qui accueille 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 des enfants de familles monoparentales et souvent défavorisées, déménagera à Conflans-Sainte-Honorine. La mairie a prévu d'ouvrir une nouvelle crèche municipale pour les parents dans l'impossibilité de faire le déplacement.
voila se qui nous attend en france! un etat islamist ! sa commence en belgique!
voila le gros danger de lislam, car une fois les porte ouverte, lhorreur de lislam deferlera sur les francais!
batton nous!
Tuesday, 26 November 2013
Un surveillant scolaire se vante de brimer les petits enfants blancs (màj Tweets/FB)
Si vous connaissait se mec denoncer le pour racisme !
une grosse merde !
perso je pense que twitter devrait etre dans lobligation de dire a la police le vrais nom de cette petite frappe !
Alors que le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, vient de lancer une campagne contre le harcèlement à l’école, les services de police et les médias vont-ils être aussi réactifs que dans l’affaire de la crèche du XVIIème de Paris dans laquelle quatre femmes ont été mises en garde à vue pour des soupçons de racisme ?
L’autre question est de savoir si ce jeune a été embauché via les contrats aidés, sans qualifications, pour surveiller des enfants en bas âge nécessitant une vigilance particulière ?
« J’men régale de les punir ahaha. Et j’favorise les Noirs et les Tissmey – Si y’a un Babtou il se tape avec un Noir, j’puni pas les deux. Le Babtou il doit dire « pardon » et il va au coin. Le noir il peut aller jouer – J’vais punir tous les petits Babtou qui font les malins dans la cour de Récrée. » - Joyce GBE (surveillant en école maternelle et primaire)
Avec les retraites des fonctionnaires, la dette publique atteint 5 000 milliards d’euros !
Avec les retraites des fonctionnaires, la dette publique atteint 5 000 milliards d’euros !
Les retraites des fonctionnaires sont un gouffre abyssal pour les finances publiques françaises et ce sont les contribuables et les générations futures qui payent. Résultat : selon Nicolas Doze ce mardi sur BFM TV, la dette de la France s’élève à 5 000 milliards d’euros soit 250% du PIB. Et c’est sans compter les dettes de votre région, de votre département, de votre ville, etc.
La France, un pays soumis ? Alain Soral nous répond
© Photo : AFP
Au-delà des chiffres, une réalité indéracinable se profile. Celle de l’insatisfaction ambiante. Politique migratoire catastrophique, voire quasi-inexistante, taxation galopante, politique familiale antifamiliale, réformes pénales encourageant la criminalité, politique internationale et notamment proche-orientale désastreuse, les ingérences de ces dernières années étant la plupart du temps mortifères pour les pays visés ou découlant de ces ingérences déplacées, je pense avant tout au cas malien. Un bilan réjouissant ? Je ne crois pas. François Hollande est au plus bas de sa popularité et pour cause : les Français ne sont pas masochistes, il leur reste encore, primitivement parlant, cet instinct de survie qu’ont tous les êtres vivants de notre planète. Lorsque Jonathan Hayoun, président de l’Union des étudiants juifs, se fait du mauvais sang pour les métamorphoses éthiques du peuple français en évoquant les discours haineux du FN (« le FN tient des discours qui distillent la haine, attisent les peurs, agitent les préjugés ») il se retrouve automatiquement à côté de la plaque, car ne sont-ce pas les discours philanthropiques de l’équipe Ayrault qui, mis en pratique, ont contribué au morcellement de la France ? Comment peut-on continuer à surfer sur des notions dignes d’un salon d’antiquaires, le racisme par exemple, alors que les enjeux sont d’un autre ordre ?
Alain Soral, écrivain, essayiste, créateur du site Egalité et Réconciliation, nous a fait part de sa vision desdits enjeux. Voici son analyse.
LVdlR. « Vous avez dit maintes fois que vous étiez hors de toute politique (…). Or, pour beaucoup de Français, vous incarnez l’image de la nouvelle opposition. Quels sont, M. Soral, les moyens dont vous usez dans votre lutte ? Quels sont vos objectifs ?
Alain Soral. Quand je dis que je suis hors de la politique, je veux dire que je suis hors de la politique politicienne traditionnelle qui consiste à se présenter à des élections et à organiser des manifestations. On a remarqué depuis des années en France que les manifestations de rue n’amènent jamais à rien et que le système est tellement bien verrouillé que la politique politicienne nous amène toujours finalement à respecter et à nous soumettre aux règles du système de domination. En réalité, je fais donc de la politique mais différemment, en fonction des deux constats que je viens de vous énoncer.
LVdlR. Dans une vidéo vieille d’à peu près un an, vous dites que la France disparaît, qu’elle se pré-balkanise, qu’elle est donc complètement morcelée. Assiste-t-on à un lent déclin du pays ou alors la cocotte-minute est sur le point de déborder et nous sommes au seuil d’une révolution qui est bien pire que celles que nous avions connu jusqu’à présent.
Alain Soral. Je constate que progressivement les élites officielles en France se sont mises à servir d’autres intérêts que la France et le peuple de France, se sont alignés sur les intérêts américains et israéliens notamment, ce qui a produit une double catastrophe : sociale, avec la désindustrialisation de la France, un chômage massif, une précarisation de l’emploi et une baisse des revenus des couches populaires et des classes moyennes ; sociétale, avec des tensions communautaires de plus en plus fortes entre Français de souche de culture catholique et les Français d’origine immigrée, souvent de confession musulmane, et souvent le tout manipulé par une toute-puissante communauté juive qui à mon avis se maintient dans sa domination en jouant ce jeu qui est de diviser pour régner, créant un climat de tension qui en effet pourrait faire penser à la période qui a précédé l’éclatement du Liban et la guerre civile libanaise ou aussi la situation de la Yougoslavie quand les puissances atlantistes ont décidé de liquider la Yougoslavie de Tito fin années 80-début années 90.
LVdlR. Ces réalités concernent plus la France ou toute l’Europe d’une manière générale ?
Alain Soral. Non, elles concernent tout le monde occidental soumis à l’économie de marché en régime néo-capitaliste financiarisé. Mais la France est un pays qui a une position particulière parce qu’elle a toujours été, notamment du temps du général de Gaulle, à la fois dans le camp atlantiste et en même temps sur une autre culture étant toujours assez critique et adepte d’une position alternative par rapport à cette domination alternative, alors que l’Italie avait été totalement soumise, l’Espagne, d’une façon plus perverse, aussi, pareil pour l’Allemagne. Ainsi, la soumission de la France sur un plan à la fois culturel et économique est quelque chose de plus grave et de plus violent, me semble-t-il, car elle rompt avec des siècles et des siècles de tradition d’indépendance.
LVdlR. La France est un véritable eldorado pour une immigration pauvre, sous-qualifiée et surtout incontrôlable. Imaginons maintenant qu’il se produise un miracle en 2017 et qu’il y ait une Jeanne d’Arc qui débarque à l’Elysée. Suffira-t-il qu’elle coupe les pompes aspirantes de cette immigration de masse pour stopper les déplacements de cette dernière ou alors la solution à envisager serait éventuellement plus complexe ?
Alain Soral. A l’heure actuelle, nous avons des gens à la tête du pays qui organisent l’immigration non pas dans l’intérêt de la France par rapport à une demande d’emploi mais dans un but de destruction du peuple de France. On peut le comprendre d’une façon immédiate en observant la politique de la gauche qui cherche des électeurs sur le plan syndical ou même sur le plan des élections locales en ne s’appuyant plus que sur les immigrés parce qu’ils ont depuis longtemps abandonné les ouvriers et c’est réciproque. Il s’agit donc d’une espèce de stratégie électoraliste dans le but de maintenir le pouvoir quitte à détruire le pays. Je pense par ailleurs que ça va encore plus loin. Le peuple de France st un peuple historiquement insoumis et que ce métissage forcé est aussi une stratégie pour affaiblir les capacités de défense.
LVdlR. Que faire de ces musulmans qui se disent « plus musulmans que Français » ? Considérez-vous que cette phrase traduit le refus total de ces gens de s’intégrer, eux qui pourtant sont Français depuis une, voire deux générations ?
Alain Soral. C’est un sujet beaucoup plus compliqué que ce que vous dites. Il y a en France une immense majorité de ce que j’appelle « les musulmans du quotidien » qui sont de petites gens qui ont été soumis à l’immigration sans le vouloir, qui ont travaillé humblement et discrètement sans jamais poser de problèmes. Et puis il y a aujourd’hui une nouvelle génération qui a été essentiellement manipulée par le PS pour détester la France et manipulée par les réseaux qataris, wahhabites pour perturber le climat et c’est plutôt cette double manipulation qu’il faut montrer du doigt plutôt que de laisser croire que les musulmans seraient d’abord une communauté unifiée, ce qui n’est pas le cas, et qu’elle serait automotrice.En réalité, il y a une manipulation d’une population pauvre, désocialisée et musulmane pour parachever la déstabilisation du pays. C’est plutôt dans ce sens-là qu’il faut le voir, en cherchant les causes sans s’enliser dans les effets, repérant ceux qui ont intérêt à pousser les musulmans à la radicalisation et à en faire une force de déstabilisation en France. Quand on s’intéresse à cette question comme je m’y intéresse depuis des années, on s’aperçoit finalement que cette dérive ne vient pas des musulmans français eux-mêmes mais d’une manipulation de l’extérieur qui a beaucoup à voir avec la stratégie néoconservatrice du choc des civilisations utile à la domination impériale américaine dans le monde et qui se pratique en France.
LVdlR. Existe-t-il une solution pacifiste à ce problème ?
Alain Soral. Il faudrait que le peuple de France puisse enfin remettre au pouvoir des représentants légitimes qui le représenteraient vraiment. Dès lors, nous prendrions des positions sur l’immigration incontrôlée qui serait simplement une inversion des tendances, nous remettrions en avant l’assimilation française à la France respectable, pas à celle de Bernard-Henri Lévy, de François Hollande et de Laurent Fabius. Dès lors, je pense que le problème pourrait être réglé comme Poutine chez vous l’a réglé. Nous sommes dans une situation qui correspond à celle dans laquelle se trouvait la Russie avant que Poutine n’arrive, la Russie sous Eltsine, c’est-à-dire une situation où les élites sont dans la haute trahison. La question de l’immigration en France pourrait être réglée si nous avions des élites à nouveau légitimes dans le pays, car la question de l’islam en France est simplement le masque de la question de l’immigration, cette dernière étant incontrôlée, exponentielle et voulue.
LVdlR. Est-ce que le FN pourrait représenter cette élite légitime dont vous venez de parler ?
Alain Soral. En tout cas, parmi tous les mouvements constitués qui existent et qui pèsent un peu, le FN a un degré d’indépendance suffisant pour tenter quelque chose dans cette direction-là. Tous les autres partis sont soumis à la stratégie impériale américano-sioniste néolibérale d’écrasement de la France.
LVdlR. Dans quelle mesure la coopération de la France avec la Russie est plus efficace que sa coopération avec les USA ?
Alain Soral. C’est l’évidence ! L’Amérique nous pille avec sa logique de la dette et finalement ne nous achète pas grand-chose. Notre coopération vertueuse serait plutôt à l’Est avec l’Allemagne et la Russie tant sur le plan économique que sur le plan géopolitique. De toute façon, il serait temps de procéder à un rééquilibrage des coopérations entre le monde thalassocratique et l’Europe.Simplement pour cela, je vous le dis une fois de plus, il faudrait que nous ayons à la tête de notre pays des dirigeants qui ne soient pas des agents de la domination impériale atlantiste mais qui défendent les intérêts supérieurs de la France. Je crois que tous les analystes sérieux se rendent bien compte de ce déséquilibre et que les gens qui réfléchissent sérieusement souhaitent un rapprochement avec la Russie et s’étonnent, se scandalisent de la diabolisation complètement inique de la Russie de Poutine ».
Cette Europe qui nous tue !
Depuis 1970, le chômage dans les pays de l’UE a quintuplé, la dette publique a quadruplé et la croissance annuelle a été divisée par quatre.
Même s’il ne se passe pas un jour sans que l’on nous parle de chômage, de fermetures d’usines, de déficits publics et de nouveaux impôts, jamais ou presque jamais l’Euro (et encore moins notre appartenance à l’Union européenne) n’est ouvertement remis en question. À dire vrai, ils ne sont qu’une poignée d’eurosceptiques comme Jacques Sapir, Nicolas Dupont-Aignan ou Marine Le Pen à venir s’exprimer sur les plateaux de télévision et encore, à condition d’être cantonnés dans le rôle ingrat de repoussoir. Quant à François Asselineau, certainement le plus redoutable d’entre eux, il est tout bonnement interdit d’antenne. Le sujet est donc tabou, ce qui, pour un esprit scientifique, est un signe qu’il ne résisterait pas à une critique fondée sur les faits.
Or ces faits, les voici : depuis 1970, le taux moyen de chômage dans les pays de l’UE a plus que quintuplé, la dette publique rapportée au PIB a quadruplé et la croissance économique moyenne annuelle a été divisée par quatre.
Entre 1980 et 2012, le poids de l’UE dans le PNB mondial est passé de 32 % à 18 %.
Au cours des dix dernières années, sur les 34 membres de l’OCDE, les cinq pays les moins performants selon les critères combinés de la croissance, du chômage et de l’endettement public sont tous des pays membres de l’Union européenne et inversement, aucun ne figure parmi les cinq premiers de la classe.
Entre 1986 et 2010, la Grèce, l’Espagne et l’Irlande avaient perçu des différents dispositifs budgétaires de l’UE près de 300 milliards d’euros, un montant équivalent à trois fois le plan Marshall en monnaie courante. Or, en 2013, la Grèce est en faillite, l’Espagne sous perfusion et l’Irlande sort à peine de la plus grande crise de son histoire.
Inutile donc de se demander pourquoi Daniel Cohn-Bendit et Manuel Barroso nous sortent toujours le même argument : la construction européenne a apporté la paix ! Une affirmation bien commode certes mais qui n’en reste pas moins un mensonge historique. La paix en Europe a résulté en premier lieu de l’aversion pour la guerre de tous les peuples européens après la folie de 39-45, en second lieu de la partition du continent en deux blocs militaires intégrés, l’OTAN et le Pacte de Varsovie et enfin de l’absence de buts de guerre. Elle n’a eu strictement rien à voir avec l’UE.
Les européistes les plus convaincus rejettent la faute sur l’absence d’union politique et prônent une accélération du processus d’intégration vers le fédéralisme. C’est oublier que les peuples, qui ont bien senti que la démocratie allait leur filer entre les doigts, n’en veulent pas. Sans compter que la Flandre ne veut plus payer pour la Wallonie, ni la Catalogne pour la Castille, ni Milan pour Naples. Quand à nos voisins d’outre-Rhin, ils ne conçoivent le fédéralisme qu’à la condition totalement utopique que chaque membre soit à sa manière aussi vertueux que l’Allemagne.
La seule conclusion qui s’impose, c’est que la machine infernale de l’UE est un désastre total. Cette utopie supranationale, portée par des idéologues aveugles et maillon essentiel d’un nouvel ordre dominé par les multinationales, cette Europe-là nous tue.
Des subventions comme s’il en pleuvait
Des subventions comme s’il en pleuvait
Parfois, à force de réclamer la transparence des institutions publiques, on l’obtient. Ce n’est pas sans misères, mais le résultat en vaut la chandelle. C’est ainsi que, dans les données disponibles sur data.gouv.fr, on trouve le détail des subventions distribuées, d’années en années. L’analyse de ces distributions d’argent des autres est fort instructif.
En effet, n’importe quel citoyen un minimum attentif aux impôts qui lui sont prélevés doit se demander si, parfois, il n’y aurait pas comme un petit coulage dans la façon dont l’argent est dépensé. Et même si, bien sûr, l’évidente solidarité nationale impose un consentement à l’impôt des plus tendres, il est parfois nécessaire de s’assurer que l’un ou l’autre élu n’aurait pas malencontreusement ripé au moment de faire un chèque pour l’une ou l’autre association dont il serait fortuitement le président, ou dont le trésorier serait inopinément un membre de sa famille (au sens strict ou au sens politique)…
Et grâce à cette joyeuse manie de l’ « open-data », on se retrouve à présent avec cette possibilité délectable de fouiller dans les comptes de la Nation. Fouiller est ici le terme adéquat tant les données sont volontairement obscurcies dans le jargon administratif ; à ceci près, cependant, force est de constater qu’on retrouve bien tout comme il faut, dans les « jaunes » édités chaque année. Pour ce petit billet détendu de l’analyse économique succincte, j’ai choisi les années 2011 et 2012 (i.e. les jaunes du PLF 2013 et du PLF 2014).
Quelques manipulations de données CSV plus tard, on obtient quelques jolis graphiques qui illustrent assez bien différents problèmes et soulèvent quelques interrogations.
D’une part, en ces périodes de restrictions, on a un peu de mal à comprendre pourquoi l’État distribue ainsi un peu plus d’un milliard d’euros en 2011 dans différentes associations qui vont de la formation professionnelle à celle des boulistes de telle localité. Après tout, la formation est quelque chose qui devrait être du ressort des entreprises, des individus, éventuellement d’un accord liant les premières aux seconds, et, pour tout dire, pourrait être envisagé dans le cadre de l’éducation nationale (on n’est plus à une propagande près). Pourquoi l’état finance-t-il cela ? Quant aux boulistes et autres associations sportives ou vidéo-ludiques, seules les contorsions actuelles du sens des mots permet de placer ça dans les missions de l’État et dans le cadre de son nécessaire soutien aux activités qui permettent d’entretenir le lien social, la paix sociale, le sport social et la distribution sociale de pognon social. Une fois débarrassé de la gangue de novlangue, les subventions correspondantes ressemblent largement à une distribution de bonbons pour réjouir les uns et calmer les autres…
D’autre part, l’analyse des chiffres de 2011 et 2012 laisse assez peu de doute sur la tendance générale de ces distributions. Tendance un peu alarmante puisqu’elle se traduit essentiellement par une véritable explosion des subventions distribuées. On découvre en effet que leur montant total s’établissait ainsi à 1.229 millions d’euros en 2011, et qu’il atteint 1.855 millions en 2012.
Sapristi ! Une augmentation de 50% (!), que voilà de la bonne grosse austérité bien violente ! Il semblerait, au vu de ces chiffres, que certains n’ont pas subi la crise avec la même difficulté que d’autres. Et si on comprend que certaines associations sont effectivement à 100€ de donation près, certaines autres ont tout de même trouvé dans le budget de l’État un secours … grossissant au cours des années.
Et lorsqu’on regarde un peu les grandes masses, l’impression de foutage de gueule s’installe franchement. Par exemple, si l’on rassemble par ministère les largesses qui furent distribuées, on se rend compte que ce qui relève du pur régalien (i.e. l’intérieur, les affaires étrangères, la justice et la défense) ne représente jamais une très grosse proportion de ce qui est donné par l’Etat. Pire : cette proportion tend à diminuer dans le temps. Ainsi, en 2011, les associations qui dépendent de ministères régaliens sont subventionnées à hauteur de 10% des montants totaux distribués.
En 2012, les mêmes associations ne comptent plus que pour un petit 5% maigrichon. Décidément, il ne fait pas bon être attaché à l’un des piliers de l’Etat français lorsqu’on est une association demandeuse de subventions en France !
On m’objectera sans doute qu’on peut très bien avoir une diminution relative des « subventions régaliennes » si les subventions, en général, augmentent largement (ce qu’elles font) sans pour autant avoir une diminution absolue des montants impliqués. Il n’en est rien : les associations qui dépendent des ministères régaliens voient bien le robinet à subvention se fermer ; seule la Défense limite un peu l’assèchement, mais sinon, les chiffres sont éloquents d’une année à l’autre et donnent ceci :
Comme on le voit, on passe d’un total (régalien seul) de 133 millions d’euros à 88. Là, pour le coup, l’austérité commence à se faire sentir. Mais plus intéressant, ce qui n’est pas du régalien, lui, en profite dans le même temps pour remplir sa besace et même largement plus ; pour rire, j’ai réintroduit ce qui avait été retiré du précédent graphique. La différence étant sensible, cela écrase un peu les ministères régaliens, mais on distingue nettement que l’austérité, pour ces associations, c’est définitivement pas maintenant :
Au delà de ces aspects de répartition un peu fastidieux qui montrent à qui en doutait encore que l’Etat n’est plus qu’un immense diffuseur d’ambiance à base de pognon cramé dans des associations colorées, citoyennes, festives et parfaitement limitées à des intérêts bien particuliers et non pas du tout collectifs, les données permettent des fouilles dont les résultats sont lourds de signification sur ce que ceux qui sont à l’embouchure du robinet sont capables de faire pour s’y abreuver sans complexe.
On aura un petit mouvement de recul lorsqu’on découvrira que les associations pour les loisirs des administrations financières touchent plus de 34 millions d’euros (6 millions pour l’ATSCAF et 28 pour l’EPAF). C’est vraiment mignon d’apprendre que les gens qui collectent nos impôts s’octroient eux-mêmes, après une consultation et d’âpres débats avec eux-mêmes, plusieurs dizaines de millions d’euros pour leurs loisirs.
On ne s’étonnera pas de découvrir par exemple qu’en 2011, les 10% des associations les mieux dotées (2198) touchent plus d’un milliard d’euros en tout, soit 514 K€ en moyenne pour celles-là. En revanche, les 90% restantes devront se contenter d’une dotation de 8486€ en moyenne. Si l’on voulait vraiment se moquer de nos solidaires à nos frais, on pourrait noter que le coefficient de Gini dans cette répartition montre clairement un écart très important entre les associations riches et les associations pauvres… En pratique, cette différence n’est pas amusante puisque quoi qu’il arrive, le contribuable en est de sa poche.
Mais de façon générale, ces chiffres montrent surtout l’incroyable décontraction avec laquelle les institutions jouent avec l’argent du contribuable. On peut se demander pourquoi autant d’associations Loi 1901 sont créées pour, par exemple, gérer les restaurants d’entreprises de la fonction publique ; pourquoi ces administrations emploient-elles un tel montage pour ce genre d’activités ? Pourquoi demande-t-on implicitement à tous les contribuables de participer de façon directe au financement de la Fédération Française de Ski (près de 4 millions d’euros) ? Le ski est-il un droit de l’homme ? Le ski peut-il décemment être mis au même plan que les Restos du Cœur (qui reçoit aussi sa part, modeste, de financements publics) ? Pourquoi tout le peuple français est-il ponctionné pour que seulement certains puissent s’adonner à leurs loisirs ?
Pourquoi, mais pourquoi donc ces associations ne se contentent-elles pas des cotisations de leurs nombreux membres ? Si elles intéressent tant de monde, elles n’auront pas de mal à rassembler les cotisations qu’il leur faut et dans ce cas, aucun besoin de subventions ! Et si elles ne peuvent survivre sans subvention, peut-être n’intéressent-elles pas suffisamment de monde et ne méritent-elles pas de recevoir l’argent public, de la collectivité, doncde tous ?
Mais surtout, comment ne pas voir dans cette distribution permanente et croissante d’argent des autres, qui échappe royalement à tout contrôle effectif du peuple, un parfait déni de démocratie ? Comment ne pas voir qu’en plus d’être des nids de prébendes et de sinécures pour amis du pouvoir, qu’en plus des sources évidentes de corruption que ces arrangements offrent à tous les élus, à chaque étage du mille-feuille français, ces associations, en venant téter aux subventions publiques, détournent l’argent de la collectivité pour des intérêts privés ?
Devant ces chiffres consternants, comment justifier le moindre consentement à l’impôt, expression dont s’abreuvent nos crétins gouvernementaux à mesure que la grogne monte ?
> h16 anime le blog hashtable. Il est l’auteur de Égalité taxes bisous.
Ecole des Mines: l’étrange décès d’un élève de première année
Élève à l’école des Mines, Jocelyn Mafféis est mort quelques jours après sa première rentrée. Suicide, bizutage, accident ? Les circonstances entourant sa mort restent confuses.
Au moment des faits, l’histoire n’a pas fait de bruit. Et pourtant, elle est terrible. Le 24 septembre dernier, un étudiant de 19 ans, qui faisait sa première rentrée à la prestigieuse école des Mines, décède. Comment? Personne ne le sait véritablement. Tombé du septième étage de la résidence de l’école le 18 septembre, il meurt à l’hôpital six jours plus tard. Mais les circonstances entourant cette chute restent vagues.
Après une enquête préliminaire, l’affaire a été classée sans suite. Trop rapidement, selon les parents du jeune homme. Son ordinateur et son téléphone portable n’ont fait l’objet d’aucune recherche, on ne sait rien de ses dernières connexions et communications. Les policiers auraient «découvert» le contenu du sac du jeune homme en le rendant à ses parents. Et dedans, ses lunettes, cassées. «Sans, il ne voyait rien» atteste Marie-France Henry, présidente du comité national contre le bizutage. Étonnant, dès lors, que cet élément n’ait jamais été pris en compte. C’est pourquoi la question du bizutage refait surface. De même, on ne sait pas pourquoi et comment cette fenêtre a pu être ouverte. Toutes les ouvertures situées dans les escaliers sont normalement fermées, poignées ôtées. «L’enquête semble avoir été bâclée» poursuit-elle. Les parents envisageraient de porter plainte contre X.
Soupçon de bizutage
Jocelyn s’était confié à ses parents, et redoutait le week-end d’intégration pour lequel il devait partir le jour de sa chute. Il faut dire qu’il y avait eu des précédents. Comme cette première soirée, organisée par le bureau des élèves (BDE) dans un bar du quartier Saint-Michel. «Ce soir là, d’après ce que Jocelyn a rapporté, on peut difficilement dire qu’il ne s’agissait pas de bizutage» commente Marie-France Henry. Les élèves sont répartis sur différentes tables, les «anciens» d’un côté, dictant la marche à suivre aux «nouveaux». Si une table ne boit pas assez, un de ses membres est désigné pour boire, seul, un broc complet de punch. Jocelyn en a fait les frais. «Encore une fois, certains avanceront que l’on peut toujours dire non. Mais on sait bien que la pression du groupe est très forte, et qu’il est très difficile pour les nouveaux d’aller contre» poursuit-elle. «Comme le bizutage est interdit, on parle d’intégration, mais les actes restent souvent les mêmes» ajoute-t-elle. Pour le directeur de l’école en revanche, cette soirée n’a pas pu être prétexte à un bizutage puisque «moins de vingt élèves de deuxième année seulement y accompagnent la centaine d’élèves de première année».
Rien, pourtant, selon ses proches, ne laissait penser que Jocelyn n’en pouvait plus au point de commettre l’irréparable. S’il s’est suicidé, il ne l’avait pas prémédité. Il avait acheté la tenue de rigueur pour le week-end d’intégration, et prévu de s’investir dans différents clubs de l’école.
«Un procès instruit d’avance» selon Romain Soubeyran, directeur de l’école
L’école, elle, ne semblait jusqu’à ce jour pas très concernée. «Les parents n’ont pas été reçus par le directeur» témoigne Marie-France Henry. «A Centrale, à l’EDHEC, après les événements dramatiques qui ont lieu récemment, les rassemblements étudiants ont été mis en berne» précise-t-elle. «Et la, rien. Le soir même, toute la promotion est partie faire la fête.»
Le directeur de l’école, dans un communiqué publié ce lundi ,répond à ce qu’il estime être «un procès instruit d’avance», faisant référence à l’article du Monde publié ce week-end qui révéla l’affaire. Il explique avoir écrit «une longue lettre manuscrite de condoléances» aux parents, restée sans retour. Il rappelle que les parents «étaient et restent les bienvenus s’ils souhaitent [le] rencontrer», et que si l’école est restée relativement en retrait dans cette affaire, c’est parce que les parents «demandaient à l’École la discrétion sur un drame considéré par eux comme personnel, dans lequel l’École n’était donc pas en cause». Elle explique par ailleurs avoir mis en place une cellule de soutien psychologique à destination des camarades de Jocelyn. Quant à la décision de maintenir le week-end d’intégration, elle aurait été prise dans l’intérêt du plus grand nombre, afin d’éviter de «laisser des élèves confrontés à un événement traumatisant, pendant plusieurs jours, dans les lieux même de cet événement».
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