Ça devient bon ! Les gauchistes se dévorent entre eux !!!
On ne peut pas dire qu’Eric Naulleau soit franchement à droite, à preuve ses prises de bec, vives mais toujours courtoises, avec Eric Zemmour, et pourtant quand il se trouve sur le plateau du grand journal de Canal+, il est quasiment lynché en direct pour avoir osé « commettre » un livre de dialogue avec Alain Soral, écrivain réputé d’extrême droite.
Regardez bien cette vidéo et observez la bien-pensance de gauche à l’oeuvre. Voyez notamment Jean-Michel Aphatie trépigner sur place en répétant : « Vous faîtes un beau cadeau à Alain Soral ! Vous lui faites un beau cadeau ! ».
Quant à Augustin Trapenard, regardez ce visage émacié sur lequel se lit la haine et le sectarisme. Je l’imagine très bien, en 1793, dans le rôle d’accusateur public, en Fouquier-Tinville, sanguinaire et sans pitié pour les aristos !
Augustin Trapenard et Antoine Fouquier-Tinville
Je n’en peux plus de ces censeurs qui pourfendent la liberté d’expression au nom de l’idée qu’ils se font de ce qui est bien et de ce qui est mal.
Je suis suffisamment âgé pour me rappeler parfaitement l’arrivée de la gauche en 1981 et le traumatisme que cela avait été pour les sympathisants de droite. Mais, le climat d’alors n’avait rien à voir avec ce que nous vivons aujourd’hui. Le politiquement correct ne régnait pas encore en maître et les chroniqueurs militants n’avaient pas conquis les plateaux de télévision.
Et la politique menée par François Mitterrand ne fut pas aussi fondamentalement clivante que celle de Hollande. Sur le plan sociétal, notamment, Mitterrand avait su ne pas aller trop loin dans la division du pays en retirant la loi Savary sur l’école privée qui avait entraîné une manifestation monstre en juin 1984.
Mais aujourd’hui, le sectarisme est de mise à gauche. L’extrême droite est présentée comme le diable, même quand elle tente de se « re-républicaniser » et la droite modérée est taxée de radicalisation dès qu’elle ose critiquer les mesures prises par le gouvernement.
On étouffe de ce politiquement correct, de cette morale à sens unique et à géométrie variable ! Heureusement, cette stratégie de la gauche est en voie de ringardisationquand on observe, dans les sondages, le glissement à droite de l’opinion française. Quand on sait que, suivant les partis, entre 75 % et 96 % des Français souhaitent que l’on passe d’une immigration subie à une immigration choisie, on peut se dire que le discours de la gauche bien-pensante ne passe plus.
Tout n’est donc peut-être pas perdu …
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