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Monday 25 November 2013

Quand les musulmans veulent vivre « comme tout le monde »…

Un nombre grandissant de Français s’inquiète de la progression démographique de populations dont la culture est très différente de la leur.

Les initiatives communautaires des nombreux musulmans déplorant l’attitude de la société française à l’égard de leur religion s’accumulent depuis quelques temps. Le Collectif contre l’islamophobie en France vient ainsi de créer une application mobile permettant de dénoncer les actes islamophobes tandis que la Ligue de défense judiciaire des musulmans a vu le jour récemment. Leurs protestations se rapportent principalement à la place occupée par l’islam dans le débat public ; ils s’estiment en effet injustement blâmés par les discussions successives à propos de l’identité nationale ou du port du voile. Très révélateur de cet état d’esprit, un responsable associatif de Tourcoing réclamait, ces jours-ci, le droit pour les musulmans de « vivre comme tout le monde ».
L’utilisation de l’expression « vivre comme tout le monde » est remarquable, car elle met en évidence un profond malentendu. Elle n’est pas l’affirmation de la volonté des musulmans de s’adapter à la société française, mais celle au contraire de conserver la culture et le mode de vie de leur pays d’origine. Ouverts à l’immigration à la condition que les nouveaux venus fassent l’effort de s’adapter, les Français se voient trop souvent refuser le rôle de référent culturel.
Lorsque jadis les immigrés étaient tenus de s’assimiler, ce problème n’existait pas, puisque les nouveaux arrivants devenaient des Français comme les autres. C’est en raison de l’abandon de ce modèle d’assimilation que désormais les migrants et leurs enfants reconstituent, en partie tout au moins, leur société d’origine sur le territoire national. Bien des Français, souvent de condition modeste, ont ainsi assisté à l’inexorable transformation culturelle de leur quartier. Certains sont restés, d’autres ont fui, mais presque tous portent un regard acerbe sur cette immigration.
Dans son ouvrage Les Petits Blancs, l’écrivain Aymeric Patricot donne justement la parole à ces Français d’origine européenne, déclassés socialement et culturellement. Tourmentés, parfois même obsédés par les évolutions démographiques, ils narrent leur crainte de l’avenir et la douleur de se sentir devenir étrangers dans leur propre pays. Une jeune étudiante, Agnès, note avec justesse que la politique migratoire actuelle permet aux populations d’origine africaine de « faire venir des gens de leur famille, de leur région d’origine » et ainsi de « renforcer leur pouvoir ». En effet, dans une société fragmentée par le multiculturalisme, le nombre fait la force ; un groupe communautaire qui s’accroît démographiquement acquiert un avantage lui permettant d’imposer son mode de vie au reste de la société.
Là est bien le fond du problème : bien conscients que l’évolution de la France se fait à leurs dépens, un nombre grandissant de Français s’inquiète de la rapide progression démographique de populations dont la culture est très différente de la leur. L’islam n’est donc pas visé en tant que spiritualité ; et son omniprésence dans le débat public, qui irrite tant les musulmans, est une tentative politique d’apaiser l’angoisse existentielle de ces Français, soucieux de préserver leur mode de vie et leurs traditions. Cette démarche purement politicienne est d’ailleurs vouée à l’échec, puisqu’elle n’aboutit, en général, à rien de concret.
Trop souvent indignés que l’on débatte des conséquences de leur arrivée en nombre sur le sol français, les musulmans ne doivent pas se sentir offensés par le désir légitime de millions de Français de stopper l’immigration et d’abandonner ce modèle multiculturaliste pernicieux. Rien de plus naturel en effet, que l’aspiration d’un peuple à endiguer l’effacement de son identité ; c’est même la preuve qu’un puissant souffle de vie continue de l’animer.

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