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Tuesday 19 November 2013

Effet Leonarda : il n’y aura plus d’expulsions de lycéens, ni de leur famille !

Effet Leonarda : il n’y aura plus d’expulsions de lycéens, ni de leur famille !

Voici un article paru dans le n° 2352 du Bulletin d’André Noël paru le 18 novembre :
Léonarda reste donc au Kosovo, au moins momentanément. Elle y est confortablement logée, avec sa famille. Elle donne des interviews… contre rémunération. « Libération » a dû donner 50 € à son père pour que l’arrogante adolescente consente à faire part de ses états d’âme au quotidien de la gauche caviar. L’honneur journalistique est sauf, assure le quotidien, puisque son père avait demandé 200 € !
Mais l’affaire Léonarda fait « jurisprudence ». Le pouvoir n’entend pas se retrouver à nouveau dans semblable situation, même si la mobilisation lycéenne qui le faisait trembler a fait long feu.
On a ainsi appris la semaine dernière que, sur intervention de Vincent Peillon, un lycéen marocain sans-papiers a été libéré d’un centre de rétention quelques heures à peine après son arrestation. Abderazak Moukharbich, 21 ans – ce qui n’est pas très jeune pour un lycéen – élève en bac-pro au lycée Chenevière-Malézieu à Paris, a été arrêté dans le train à Angers le 10 novembre et placé en rétention à Rennes. « Le directeur de cabinet de Vincent Peillon m’a appelée pour me dire que le ministre était intervenu », a indiqué au Figaro Marianne Cabaret, qui a suivi le dossier du jeune homme pour RESF (Réseau éducation sans frontière). « Je lui ai même demandé son numéro de téléphone portable et je l’ai rappelé pour le remercier, après m’être assurée que le jeune avait bien été libéré.»
Un autre jeune sans-papiers, François, lycéen de Lyon, a été libéré après deux jours à peine de rétention. « Depuis les affaires Leonarda et Khatchik, le gouvernement a renoncé à expulser les lycéens sans-papiers » explique le lobby pro-immigré RESF. Mais cela ne suffit pas : il demande que l’interdiction formelle d’expulser des jeunes sans-papiers scolarisés soit inscrite dans la loi. Pourquoi se gêner et ne pas exiger toujours plus puisque ce pouvoir, sans dignité ni courage, cède sans la moindre résistance à une poignée d’agitateurs ?
On se demande ce que vient faire le ministre de l’Education nationale là-dedans !Régulariser un clandestin, quel que soit son âge ou son activité, relève du ministère de l’Intérieur, via les préfets ! Il est vrai que, puisque l’Etat de droit est bafoué constamment, on n’en est pas à une violation de plus ou de moins de la Loi.
Quand un jeune scolarisé n’est pas expulsé, cela entraîne également le maintien sur le territoire de toute sa famille. A l’occasion de l’affaire Léonarda on nous a assez dit qu’il n’était pas conforme à la Convention des droits de l’enfant que ce dernier soit séparé de sa famille ! En conséquence, si un jeune scolarisé ne peut plus être expulsé, sa famille ne le sera pas davantage. Sachant que les Roms, comme les Africains et les Maghrébins, ont une ribambelle de gamins, il y en aura toujours parmi eux qui seront mineurs et scolarisés. « Scolarisés » veut dire « inscrits dans un établissement scolaire » ; cela ne signifie nullement qu’ils y poursuivront des études ; on l’a bien vu avec Léonarda qui allait au collège en touriste par intermittence et cela, dit-elle, parce que sa famille n’avait pas d’argent (ce qui est faux) ; elle devait donc, selon toute probabilité, davantage mendier qu’occuper un banc à l’école.
Autre conséquence : tous les clandestins et surtout ceux qui songent à violer nos frontières savent que la première décision est désormais de venir avec leurs enfants comme sauf-conduit puis, dès leur arrivée, d’aller les inscrire à l’école ; les parents seront tranquilles, devenus subitement intouchables.
Tout cela ne doit guère émouvoir Manuel Valls qui s’est vanté d’avoir déjà régularisé en 2013 (et l’année n’est pas finie !) 10.000 clandestins de plus qu’en 2012, alors qu’il n’y a pas plus de travail pour eux que pour les Français. Le taux de chômage des immigrés est deux fois plus important que chez les autochtones.
Il est vrai que nombre de ceux qui débarquent chez nous cherchent moins du travail que des combines pas très honnêtes pour subsister, sans compter les allocations diverses que l’on déverse sur eux grâce aux deniers des contribuables qui n’en peuvent plus de payer pour ces assistés alors qu’eux-mêmes ont chaque jour plus de mal à joindre les deux bouts.
André Noël

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